Le digital
à l’heure de la révolution digitale, nous sommes convaincus que la thématique « tech » doit être l’un des piliers d’une stratégie d’investissement patrimoniale.
Persuadés que nous ne faisons qu’entrer dans l’« ère digitale », qui s’annonce encore riche en transformations et bouleversements, nous sommes convaincus que la thématique « tech » doit être l’un des piliers de toute stratégie d’investissement patrimoniale.
Conscients que la nouvelle économie répondait souvent à des codes et des modèles qui nous étaient pour beaucoup difficiles à cerner, voire inconnus, nous privilégions depuis plusieurs années une stratégie d’opportunités de co-investissement aux côtés de spécialistes de premier rang.
Au-delà de la création de valeur attendue sur nos investissements en capital, cela offre la possibilité de côtoyer investisseurs chevronnés, entrepreneurs visionnaires et tout un ensemble d’acteurs d’un écosystème français particulièrement dynamique mais très fermé.
Ainsi, nous sommes aujourd’hui à même de mieux anticiper transformations et opportunités des participations dans des secteurs « conventionnels » comme l’hôtellerie ou la santé.
Cela nous permet également de rester des citoyens actifs et conscients des évolutions économiques et sociétales en cours et à venir dans de nombreux domaines comme la mobilité, l’assurance, la gestion des données au sens large, le e-commerce, moyens de paiement, etc...
La santé
Accompagner des aventures humaines dans des domaines d’excellence scientifique
L’investissement dans le secteur de la santé est l’expertise la plus ancienne depuis 1999. Il nous est clairement apparu que la recherche appliquée dans les secteurs des Biotechs et des Medtechs représentait un enjeu majeur dans le développement de la société moderne.
À partir de 2010, nous avons élargi notre spectre d’investissement en nous intéressant aux CRO précliniques, à la pharmacologie (reproduction de molécules retombant dans le domaine public) ainsi qu’à la robotisation dans le domaine chirurgical pour ne citer que ces exemples.
Dès lors, grâce à un réseau de connaissances et d’experts développé au fil du temps, nous investissons tant en France qu’en Europe mais également aux Etats-Unis. Notre position d’investisseur s’adapte selon la nature du projet et de la structure. La première est plutôt classique et consiste à accompagner un projet en tant qu’actionnaire, toujours avec un accès à un niveau d’information élevé, indispensable dans l’investissement non coté. La deuxième position est beaucoup plus exigeante et nous place en position d’acteur au sein de l’entreprise. Nous sommes actifs au sein de la gouvernance et définissons donc la stratégie, mais nous pouvons également nous impliquer dans la direction opérationnelle pour la bonne réalisation du plan stratégique. Nous affichons une position entrepreneuriale. Il s’agit généralement de structures de petite taille que nous accompagnons jusqu’à l’atteinte progressive de l’autonomie opérationnelle.
Ce sont des aventures humaines et professionnelles exceptionnelles dans des domaines d’excellence scientifique. Nous tirons une réelle satisfaction des projets qui ont été menés tout au long de ces années.
Les actifs réels
Une recherche d’actifs tangibles comme valeur refuge – L’exemple Uruguayen
L’investissement dans la classe des actifs réels remonte à la crise financière de 2008. Dans le contexte connu sur les marchés côtés, le besoin de revenir à une certaine forme de réalité économique dans les investissements se faisait ressentir. Notre recherche se porta sur un actif tangible, et notre choix s’orienta sur l’agriculture.
Mais où investir ? Nous disposions d’un réseau d’experts assez développé sur l’Amérique du Sud, principalement en Argentine, au Brésil et en Uruguay. Cette zone a été retenue pour son climat permettant des doubles rotations de culture dans une même année. Après plusieurs voyages, l’Argentine a été écartée pour des raisons de stabilité à tous niveaux. Le Brésil était de loin le pays où le développement y était le plus fort avec une agriculture moderne, gigantesque et de bonne qualité. Cela n’a pas été suffisant. Ce gigantisme et une différence de culture très prononcée nous ont fait reconcer. Nous avons donc opté pour l’Uruguay, pays assez stable politiquement où les deux principaux secteurs économiques sont le tourisme et l’agriculture. Les influences européennes y sont très présentes et même si une différence de culture existe, elle est faible. C’est un petit pays de moins de 3.5 millions d’habitants, idéal dans notre approche.
Il nous restait dès lors à choisir le support d’investissement. Nous avons participé alors au développement du premier groupe agricole du pays sous la marque UAG dès 2010. Cette délégation de gestion souhaitée s’est avérée être un échec humain et financier. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de reprendre notre destin en mains et pu quitter le groupe en échangeant nos titres et des liquidités contre des terres en détention directe désormais.
Nous voici indirectement copropriétaire dans l’exploitation de près de 9000 hectares sur une même propriété au centre de l’Uruguay. Nous y cultivons le soja, le riz, le blé, les forêts et pratiquons l’élevage de bovins. Avec l’aide d’une équipe locale, nous revenons ainsi à notre projet initial d’être directement exploitant agricole, et continuons de suivre de près son évolution.